Au bout de la fameuse route de la mort (que je n'ai pas fais en vélo je vous rassure) se trouve un petit coin de paradis sub tropical, Coroico.
Il y a là des communauté africano-boliviennes incroyables, descendantes des esclaves noirs amenés initialement pour travailler dans les mines de Potosi mais finalement reléguée à la culture de café, coca et mandarine étant données les pertes causées par le froid et l'altitude.
Dimanche sympa donc en compagnie d'Adam, le polonais que j'avais rencontré à Uyuni.
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